Meursault reçoit un télégramme au travail, sa mère est morte. Il demande deux jours libres à son chef pour aller à l’asile de sa mère et aller à l'enterrement. Son chef accepte à contrecœur.
Meursault prend l'autobus pour aller à Marengo, le village où se trouve l’asile. Il fait très chaud, et pendant tout le trajet de l'autobus il dort.
Quand il arrive à l’asile, il parle avec le directeur qui lui présente ses condoléances, il l’accompagne à la salle où se trouve le corps de sa mère ; quand il entre dans la petite salle, il y a une infirmière et un concierge arrive avec un tournevis, parce que le corps est dans le cercueil, et il ne peut pas le voir. Quand le concierge fait semblant d'enlever les vis Meursault lui demande de ne pas le faire.
Le concierge et lui ont parlé, ils ont bu du café et ils ont fumé. À la tombée de la nuit les autres résidents de la maison sont venus veiller le corps.
Le matin, ils sont allés à l'enterrement seulement le directeur, une infirmière, Thomas Pérez (un ami de la mère) et Meursault. Après l'enterrement Meursault retourne chez lui. Au lendemain il reste avec Marie, une fille qui travaillait avant avec lui. Ils sont ensuite allés voir un film comique et ils ont fini la soirée chez lui. Quand Marie est partie, Meursault est resté chez lui toute la journée en fumant et en surveillant par la fenêtre les gens qui passaient par la rue.
Le lendemain, il est allé à son bureau travailler, son chef lui a exprimé ses condoléances. Quand il a fini sa journée, il est retourné chez lui et en entrant dans l’immeuble il a vu son voisin, Salamano, grondant son chien. Il a monté les escaliers et il a vu un autre voisin, Raymond, qui l'a invité à dîner. Après le dîner, ils ont parlé, Raymond lui a demandé d'écrire une lettre pour une femme arabe qui l'avait trompée avec un autre, Meursault l'a écrite et il la lui a lue, Raymond l’a remercié
Un autre jour Meursault a un rendez-vous avec Marie pour aller à la plage, puis ils sont allés chez lui.
Ils ont commencé à entendre des cris dans la maison de Raymond, c'était la femme arabe, Raymond la battait pour l'avoir trompé. Un certain voisin a appelé la police, qui est allée chez Raymond pour voir ce qui s’y passait et a emmené la femme.
Raymond lui a dit que le frère de la femme le suivait parce qu’il l’avait battu.
Raymond invite Meursault et Marie chez un ami, Masson. Comme cet ami habitait près de la mer, ils se sont baignés, puis ils ont mangé et quand ils ont terminé, les trois hommes sont allés faire une promenade sur la plage, tandis que la femme de Masson et Marie sont restée dans la maison.
En chemin, ils ont rencontré deux arabes, un d’eux était le frère de la femme que Raymond avait battu et quand ils étaient très près d’eux, Raymond a frappé le frère, et Masson l'autre. Alors le frère a pris un couteau et l’enfoncé dans le bras de Raymond.
Masson a conduit Raymond chez le médecin et Meursault est allé à la maison raconter ce qui s’était passé. De retour, ils ont continué leur promenade et Raymond avait le bras bandé. Ils sont arrivés à une source, Raymond portait un pistolet, près de la source se trouvaient les deux arabes couchées. Meursault a demandé le pistolet à Raymond et celui-ci le lui a donné. Ils sont retournés à la maison.
Meursault est retourné une autre fois vers la source, et là continuaient encore les deux arabes, quand Meursault s’approcherai, un arabe est sorti un canif, et Meursault le a tire. Après un instant il est retourné et lui a tiré 4 fois de plus.
Ils ont arrêté Meursault et en prison il parle avec le juge de la croyance en Dieu, parce qu’il ne croyait pas.
Le temps a passé et Meursault était encore emprisonné, il parlait seulement avec l'avocat qu’on lui avait assigné et avec le juge. Une fois Marie est allée le visiter
Le jour du jugement il y avait beaucoup de journalistes, on a accusé Meursault de ne pas avoir de sentiments, parce qu'il n'a pas voulu voir sa mère morte et de ne pas pleurer à l'enterrement, et que lendemain de sa mort, il est allé en outre voir un film comique. Ils se sont pratiquement basés sur d'autres faits pour le juger, ils l’ont déclaré coupable et l’ont condamné à mort. Il l'a accepté et a compris que la mort était quelque chose qui arrivait à tous.
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